... Nous n'en auront découvert qu'une infime partie...
Bien conscients des nombreuses richesses de ce pays, notre traversée de l'Inde aura pourtant été une enchère de déceptions...
La déception de ne pas pouvoir y rester un an comme prévu, d'abord, pour y prendre le temps d'accueillir notre enfant. Faute de pouvoir prolonger un visa, confronté à la bêtise des administratifs indiens.
Une énorme déception humaine aussi... La grande majorité des indiens que nous avons croisés ont fait preuve d'une indifférence exemplaire, d'une absence totale d'empathie ou de solidarité et pas seulement par rapport à nous...
Et puis il y a eu la profonde déception liée à la rencontre de l'association Annadana.
Humaine avant tout. Sangita et Ashok nous ont démontré que parfois l'expression "mentir comme on respire" peut prendre forme dans la réalité ! Mais aussi (et on osera dire : une fois de plus sur ce voyage!) pour son éthique : encore une association qui est remplie de sens et de sagesse sur le papier, mais qui, une fois sur place, ne montre rien de cohérent et où rien n'est vécu passionnément... Quel dommage, mais inutile de s'étaler plus ici !
Humaine avant tout. Sangita et Ashok nous ont démontré que parfois l'expression "mentir comme on respire" peut prendre forme dans la réalité ! Mais aussi (et on osera dire : une fois de plus sur ce voyage!) pour son éthique : encore une association qui est remplie de sens et de sagesse sur le papier, mais qui, une fois sur place, ne montre rien de cohérent et où rien n'est vécu passionnément... Quel dommage, mais inutile de s'étaler plus ici !
Bref, nous avons finalement été soulagés d'en sortir...
Et puis, au milieu de tout ça...
Il y a ce curé protestant qui nous laisse les clés du bureau de l'église pour y passer la nuit au frais,
Il y a ce chauffeur de poids lourd qui nous offre avec sourire et plaisir une grosse poignée de son chargement : des roses,
Il y a cette famille tzigane qui nous fait un peu de place sous son abris de fortune à la tombée de la nuit,
Il y a cette famille tzigane qui nous fait un peu de place sous son abris de fortune à la tombée de la nuit,
Il y a ce vendeur de goyaves vertes salées épicées qui nous en offre une chacun,
Il y a cette famille qui nous accueille sous le toit de son porche, et puis finalement nous propose de dormir sur la table d'une pièce désaffectée, et même jouer avec les deux souris blanches, traumatisées (gentillement et en fou rire!) par les enfants...
Roses offertes par l'un des nombreux chauffeurs de camions entiers les transportant... |
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